Un ami proche, l'un de mes amis les plus chers, est un médecin universitaire réussi et aimé, et il a un fils qui a réce…

Un ami proche, l'un de mes amis les plus chers, est un médecin universitaire réussi et aimé, et il a un fils qui a récemment terminé ses études de médecine, et ce fils est très studieux et très appliqué dans ses études, en plus de sa douceur de caractère et de sa bonne religion...

Ce fils médecin s'est plaint à son père à plusieurs reprises que l'environnement universitaire dans lequel il a vécu l'éloignait d'Allah et que les étudiants se sentaient capables de se passer de leur Créateur, qu'ils Sublime soit-Il ! Au point qu'ils méprisaient le discours qui mentionnait Allah.

Avant la graduation de ce fils de la faculté de médecine, il a été atteint d'asthme, de sorte que sa respiration se resserre parfois.

Mon ami (son père) m'a dit - et écoutez ce qu'il a dit - : Il est vrai que, en tant que père, je suis contrarié de voir mon fils souffrir parfois de la maladie, mais d'un autre côté, je suis heureux pour lui car je vois dans cela une leçon d'Allah, le Très-Haut : ne te laisse pas tromper par ton savoir et sache que tu es faible, que tu as besoin d'Allah, que tu es soumis à Sa puissance, qu'Il soit glorifié. Et je dis à mon fils :

"Mon fils, ta graduation de l'école de la patience est plus importante pour moi que ta graduation de la faculté de médecine. Car Allah ne bénit pas un savoir sans foi".

C'étaient des paroles grandes qui m'ont affecté, surtout que je sais à quel point mon ami est tendre de cœur, aimant ses enfants... mais malgré cela, il sait qu'il n'est pas plus miséricordieux qu'Allah avec son fils, et il sait que le choix d'Allah pour son fils est meilleur que son choix, et il sait que cette maladie est une bénédiction car elle fait réaliser à son fils la position de servitude envers Allah, il s'humilie devant Lui, et ainsi son savoir lui sera utile dans cette vie et dans l'au-delà, si Allah le veut.

Souvenez-vous de cela, vous qui, lorsque vos enfants tombent malades, vous vous affligez et votre cœur se serre... et souvenez-vous qu'Allah est plus miséricordieux envers Ses serviteurs que la mère envers son enfant.